Le Condor
17 AOUT 2009 -11Heures
J’ai la nostalgie d’un ailleurs si différent de ce monde… … …
De grandes vagues de tendresse me ramènent une foule de sensations diffusent et si réelles … … … d’un nouveau monde plein de lumière.
Je ne suis plus ce vieux moi étriqué ou ceux d’ici veulent me retenir pour sauvegarder leurs peurs d’une réalité éphémère et je n’ai que faire de leur emberlificotages , je les aime au-delà d’eux même ,mais ils préfèrent encore jouer avec leurs mots vides des sens nouveaux ou avec les sensations de la terre , usée à tant les porter ,ils veulent m’entrainer dans leurs jeux alors que je suis hors jeu.
Ou êtes vous ceux qui peuvent comprendre? ceux qui ont des ailes déjà si puissantes ?
Oh non je ne sens pas petite, je n’ai besoin que d’ être à l’ unissons avec les identiques moi- même.
Comme le condor sur la plus haute montagne, je lance mon cri d’appel ! je me sens la vague, eau de mer qui se fracasse d’écume pour rejoindre le vivant qui ne la reconnaît pas.
Je me sens arbres feuilles et fleurs, je danse, je virevolte encore trop près de la terre.
Je m’envole dans le vent du vivant, parsemant de pleurs ceux que j’ai trop aimé dans des instants où je me suis donnée à eux corps, âme, esprit, sans aucun regret!
Ou suis je passée ?
La divine mère semble parler à travers moi, elle m’enveloppe, je voyage avec elle !
Je frôle de mon aile ceux qui ne seront pas de mon voyage de retour j’arrose de perles d’eau salées de vision trop réelles cet envol sans retour !
Vous ne comprenez pas?
Mon Dieu que je vous aime encore plus tout au long de ce chemin de retour, vous êtes si beaux, si merveilleux, si magnifiques dans cet oubli de vous que je ne peux que m’aimer à travers vous.
Le silence si vivant est venu… … …
Mariam à Sainte Cécile.
17 AOUT 2009 15 heures
La chaleur écrasante du" four solaire
planétaire" me conduisit au vieux transat plastico pourave, mais agrémenté
d'un joli coussin confortable ,
il était très sympathique,
je gisais dessus mon corps nu,
miam fit- il!
Oui ..... bien sur à l'ombre du chêne gigantesque !
Ce paravent de verdure me fit plisser
les yeux pour saisir la boule de lumière
qui cherchait à le contourner,
jeux de couleur, ballet de danse pranique, cellules et formes imaginorèelles.
Je partais dans une torpeur rêveuse,
revenant par à-coup au rappel de ce corps.
Au milieu d'un ronflement ......................
Un son me fit ouvrir les yeux ,un cri animalesque un appel: creouaeac crououosac . Un appel long qui se répétait toutes les 10 secondes, en fait trois sons,.
Alors sur un fond de ciel pur bleu vif, je le vis rasant le toit de ses ailes déployées, glissant planant, royal. Le rapace solitaire des cimes, ses plumes noires brillantes son envergure dépassait les deux mètres et juste derrière lui un frère ou une sœur que sais-je, mais son identique ....
Alors j'ai ri à la beauté de la vie !
Vous comprenez si vous avez lu la page précédente spas?
Mariam à sainte cécile